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Les médias sociaux font désormais partie intégrante de la vie de tous, en particulier des adolescents.
Faire partie du paysage numérique présente de nombreux avantages pour tous les âges. Cela donne aux gens l’occasion de se connecter avec de nouveaux amis et de perdre une famille depuis longtemps, ou de renforcer leur réputation en ligne en présentant leurs intérêts et leurs réalisations.
Pour les adolescents, cela peut être un peu plus intense
Avec les médias sociaux, les adolescents, en particulier les filles, ont tendance à se comparer aux autres. Du nombre de “j’aime” qu’ils reçoivent sur Facebook ou Instagram, en passant par un groupe en ligne.
Une étude menée auprès de près de 10 000 filles et garçons âgés de 10 à 15 ans a permis de suivre leur niveau de bonheur et leur utilisation des médias sociaux.
Le professeur Yvonne Kelly, de l’University College London (UCL), a déclaré au Evening Standard:
“Pour les filles, il peut s’agir du nombre de” J’aime “qu’elles obtiennent. Cela peut être moins important pour les jeunes garçons. Une autre façon pourrait être de faire face à la cyberintimidation. Plus le temps passé en ligne est long, plus il est probable qu’ils rencontrent des problèmes.
“Le troisième est l’impact sur le sommeil. Si vous avez votre téléphone près de votre lit et que celui-ci bourdonne, peu d’entre nous ont la volonté de résister à ce petit coup de pied qui vous a été donné. ”
Prendre part
Parler à nos enfants hors ligne de la vie en ligne est impératif. Il ne s’agit pas d’être un cyber-averti, il s’agit de la parentalité en tant que maman ou papa. Nos enfants peuvent toujours être une application en avance sur nous, mais quand il s’agit de gérer des situations difficiles ou blessantes, ils ont besoin d’un soutien émotionnel. Ils doivent savoir qu’ils peuvent s’adresser à un adulte de confiance.
5 façons de développer la résilience numérique
Nous discutons fréquemment d’aider nos enfants à développer la résilience hors ligne en développant des attitudes de respect de soi, d’empathie pour les autres et d’honnêteté. Aujourd’hui, nous devons parler de la résilience numérique.