Correct politique est allé fou

Introduction:

Si l'on en croit les témoignages, de nombreux étudiants du millénaire (nés après 1980) sur les campus universitaires sont devenus «infectés» par la contagion mentale de la pensée émotionnelle ou pathologique, selon un article paru récemment dans l'édition de septembre 2015 de Atlantic Magazine. L'histoire de couverture a un titre criant "Mieux vaut regarder ce que vous dites: Comment le nouveau droit politique ruine l'éducation."

Avant d'examiner cet article important, regardons un article publié dans l'édition du 27 septembre 2015 du Washington Post intitulé « Restoring Free Discours on Campus» de Geffrey Stone et Will Creeley. Les auteurs rapportent que les facultés et les étudiants sont mal étudiés et punis pour des discours discordants ou discordants controversés. Ils identifient un certain nombre de collèges qui échouent « à la hauteur de leur mission principale» qui favorise la « pensée critique» et comment les revendications de «microagressions » sur les échecs à fournir des «avertissements déclencheurs » aux «étudiants afin qu'ils évitent d'avoir à faire face à des idées et à des sujets potentiellement bouleversants» sabote cette mission fondamentale de l'éducation.

Les exemples incluent l'annulation des conférenciers simplement parce que certains sur le campus trouvent leurs points de vue «offensants ou erronés. "La controverse entourant cette nouvelle manifestation de la rectitude politique des années 1970 est telle que le président Obama a ressenti le besoin de nous rappeler à tous que les étudiants " dorlotés et protégés de différents points de vue ne sont pas la façon dont nous apprenons ".

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Auteurs Stone (professeur à l'Université de Chicago) et Creeley (vice-président d'une fondation "Rights in Education") concluent que "ça suffit ". Ils rapportent que l'Université de Chicago a créé un "Comité sur la Liberté d'Expression" . Il a conclu que « ce n'est pas le rôle de l'Université d'essayer de protéger les individus contre des idées et des opinions qu'ils trouvent importunes, désagréables ou même profondément choquantes.» Cela est devenu le principe de ce que l'on appelle Déclaration de Chicago "adoptée par d'autres collèges tels que Princeton, Purdue et American University. Le message est clair: le but de l'éducation est la pensée critique sans « crainte de représailles » et sans que les professeurs et les étudiants aient besoin de se craindre les uns les autres ou d'avoir peur d'exercer leur droit de parler librement de questions importantes pour eux.

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Je ne suis pas sûr de l'étendue de cette manifestation de la rectitude politique, mais un nombre croissant de voix expriment leur inquiétude; mais pas assez d'un point de vue psychologique. En tant que psychologue pratiquant, je suis surpris et choqué par l'ampleur de ce problème de mauvaise pensée sur le campus. Cette pensée mauvaise et pathologique a abouti à l'invention d'expressions telles que «microagressions» et «déclenchements-avertissements». "Si mes faits sont clairs, je suis enclin à proposer le diagnostic de la paranoïa pseudoculturelle avec colère . La paranoïa pseudo-culturelle est quelque chose que j'ai blogué dans un autre contexte. La colère est une exigence absolue, irrationnelle, "napoléonienne" "équivalente à" exigeant que les ivrognes soient sobres! "Je souhaite que Stone et Creeley soient allés plus profondément dans la psychologie des microagresseurs et des avertissements de déclenchement; Cependant, pour ce faire, je propose ce qui suit.

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Le reste de l'histoire:

Avouons-le! Quelque chose ne va pas du tout! Voici le reste de l'histoire au-delà du reportage minimaliste de Stone et Creeley et de la " Déclaration de Chicago" mentionnée. Nous considérons maintenant l'article du magazine Atlantic de septembre 2015 par Greg Lukianoff (président et chef de la direction, Fondation pour les droits individuels en éducation) et Jonathan Haidt (professeur, Université de New York) intitulé « Better Watch What You Say! Comment le nouveau droit politique ruine l'éducation », suivi du sous-titre:« Le coddling de l'esprit américain ».

Les auteurs bénéficient d'une compréhension de base de la psychologie cognitive clinique d'aujourd'hui, développée par le psychologue Dr. Albert Ellis, Ph.D. en vertu de qui j'ai fait un stage postdoctoral à son Institut de Manhattan. J'ai eu le privilège d'être parmi les quatre premiers stagiaires à compléter leur formation; une formation qui mettait l'accent sur la responsabilité souveraine de la pensée rationnelle sans distorsions cognitives au lieu de courir après l'Id, l'Ego et le Surmoi immatériels, mythiques et pré-scientifiques (Dans un sondage canadien sur les psychologues clinciaux, Albert Ellis, Ph. D. est classé comme le deuxième psychothérapeute le plus influent de l'histoire, Carl Rogers est premier, Albert Ellis est deuxième, Sigmund Feud est troisième).

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Lukianoff et Haidt démontrent une compréhension de ce que j'ai appris ces années et pratiqué avec des patients depuis. Ils soulèvent des questions sur les origines psychologiques de cette nouvelle manifestation du politiquement correct qui concerne Stone et Creeley. Ils se demandent si les campus universitaires récompensent la pensée émotionnelle plutôt que la pensée critique qui, selon les universitaires, est la mission principale de l'éducation; en plus de la méthode scientifique qui discipline efficacement toute la pensée, et je la connais bien comme biologiste et scientifique-clinicien dans la profession de psychologue. Vous pourriez envisager les discussions suivantes:

https://en.wikipedia.org/wiki/Scientific_method

https://en.wikipedia.org/wiki/Critical_thinking

Avons-nous des « campus d'hélicoptères» qui favorisent un climat de mauvaise pensée qui se traduit par des « chasses aux sorcières» à la recherche de soi-disant microagressions et des « déclenchements » censés épargner les plus sensibles d'entre nous?

J'aurai plus à dire sur les microagressions et les déclenchements , mais supposons qu'il y ait une mauvaise pensée (une "pensée puante"?) Derrière eux … une pensée qui implique des distorsions cognitives et de mauvais styles de pensée; Lukianoff et Haidt l'identifient dans leur article.

L'ampleur, l'intensité et la «nature contagieuse» de cette «marque» de rectitude politique parmi les membres de la génération Y sur le campus sont impressionnantes compte tenu de mon expérience de traitement des patients et des responsabilités des étudiants, des électeurs, des futurs dirigeants et des gardiens du Laboratoire américain et expérience avec la démocratie représentative basée sur l'éducation de masse.

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Nous parlons souvent d'armes à feu sans accorder suffisamment d'attention à la santé mentale de nos citoyens. Parlons -nous de « micro-agressions» et de « déclenchements-avertissements » sans accorder suffisamment d'attention à la santé mentale des étudiants? La santé mentale de cette génération d'étudiants est-elle en cause? Où sont les psychologues cliniciens quand nous en avons besoin? Est-ce que ces étudiants deviennent une sorte de canari dans la mine de la société ou de la civilisation actuelle? Leur comportement est-il révélateur d'une montée d'une nouvelle forme de «folie collective» qui pourrait s'étendre dans le temps? Pourquoi les psychologues sociaux, les historiens et les anthropologues culturels semblent-ils avoir le dernier mot en matière de santé mentale collective sans l'apport des psychologues cliniciens? Est-ce parce que les psychologues cliniciens sont formés pour s'occuper uniquement de la santé mentale des individus? Est-ce que l'accent mis sur la santé mentale des individus, à l'exclusion des collectifs, a plus de sens? Les questions de «santé mentale collective» sont-elles politiquement intouchables ou démodées pour quelque raison que ce soit? Comment jugerions-nous même la santé mentale de tout type de collectif, que ce soit une «sous-culture», des «élus», des «États défaillants» ou des nations en proie à des guerres idéologiques et religieuses? dans les années à venir. L'approche rentable de la santé mentale des individus et des collectifs devra impliquer la prévention, ce qui impliquera de trouver un «terrain d'entente» basé sur l'ancienne science des faits et la nouvelle science des valeurs dont je parle.

L'essence de la psychologie préventive centrée sur la santé mentale réside dans l'éducation morale basée sur la science des valeurs qui est aujourd'hui le «terrain d'entente» de demain! Rappelez-vous, les anciens possédaient un «terrain d'entente» (par exemple la mythologie concernant leurs dieux), et ils vivaient dans un monde plus «homogène». Cependant, ce monde a été perdu par l'évolution asymétrique des sciences naturelles. Mal que bon; quelque chose que je blogue longuement sur!

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Ce qui se passe sur le campus est d'autant plus urgent que les statistiques révèlent que de plus en plus d'étudiants rapportent des problèmes émotionnels et cherchent un traitement pour eux . Nos étudiants vivent dans un monde très différent et font face à de grands défis et responsabilités dans les années à venir. Nous avons déjà un avant-goût de ce monde reflété par le changement social rapide, la polarisation économique et la mondialisation, les densités de population croissantes, les problèmes de gouvernance, le changement climatique, la pression verbale comme jamais auparavant et la communication rapide grâce au réseautage social dans le cyberespace.

C'est aussi un monde où les nationalistes ataviques comme le russe Poutine semblent être en conflit avec les internationalistes qui définissent le monde d'aujourd'hui. Un nombre suffisant d'étudiants, la masse critique nécessaire, sera-t-il à la hauteur de la tâche que l'on se doit de faire en matière de pensée émotionnelle dans le zeitgeist des campus universitaires? Quelle est la plus grande signification de tout cela?

Lukianoff et Haidt ne sont pas des cliniciens mais semblent bien informés. Je m'intéresse à ce qu'ils ont à dire parce qu'ils explorent la psychologie des «événements étranges dans les collèges et les universités». Ils la relient à la prolifération de styles de pensée émotionnelle et de distorsions cognitives spécifiques qui semblent virales parmi les membres de la génération Y. Les distorsions cognitives et la mauvaise pensée que les psychologues traitent chaque jour, et je fais référence à la pensée que nous faisons lorsque nous ne pensons pas à la pensée que nous faisons en tant qu'évaluateurs et auto-évaluateurs habituels.

https://www.psychologytoday.com/blog/beyond-good-and-evil/201211/what-is…

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Mon exposition initiale à la pensée pathologique ou émotionnelle émotive est venue avec l'étude de la sémantique générale dans mes jours de premier cycle. Cette formation a été suivie en psycholinguistique à l'école d'études supérieures, puis mon stage à l'Institut Ellis qui s'est concentré sur les styles de pensée, les distorsions cognitives, et l'organisation et l'exercice des valeurs et des évaluations sous-jacentes. Ma découverte de l'approche du philosophe Hartman à l'égard des valeurs et des évaluations a rapidement suivi et le reste appartient à l'histoire. J'ai toujours été intéressé par la psychologie des individus et des collectifs, et ces récents développements sur le campus ont suscité ma curiosité. Je trouve l'échelle de cette dernière manifestation de la rectitude politique choquante en tant que scientifique-clinicien! Oserai-je dire, c'est comme si certains de mes patients non traités s'organisaient pour prendre en charge quelque chose d'aussi sacré que l'éducation collégiale? C'est intéressant pour moi, en tant que personne qui a traité les distorsions cognitives un patient à la fois sans que cela se répande comme un contage chez les étudiants du millénaire jusqu'à maintenant.

La flambée de mauvaise pensée relatant des accusations de microagression et l'exigence d' avertissements sur les campus universitaires ne sont pas l'hystérie des procès de Salem, mais les allusions à ce moment et à cet endroit sont compréhensibles! Nous semblons être confrontés à quelque chose de très différent, quelque chose à court de délires hautement développés et la reconstruction de la réalité; mais le comportement (c.-à-d. les micro – agressions et les déclenchements-avertissements ) fait que les professeurs ont de plus en plus peur des étudiants et des étudiants qui ont de plus en plus peur l'un de l'autre. Avez-vous déjà imaginé que l'éducation pourrait venir à ça? N'est-ce pas scandaleux ou pensez-vous que c'est un comportement normal?

Exemples:

Haidt rapporte que les membres du corps professoral sur les campus « ressentent maintenant la chaleur des plaintes des étudiants» parce qu'ils « ne savent jamais quand un étudiant sera offensé par des exemples donnés dans leurs conférences.» Il donne deux exemples de cette manifestation de politiquement correct devenu fou.

L'une de ses conférences comprenait une discussion sur un patient cancéreux moribond. Après la classe, un étudiant l'a accusé de " commettre une microagression " parce qu'il n'a pas fourni l' avertissement déclencheur obligatoire qui permettrait aux étudiants sensibles d'être épargnés par un trouble émotionnel. Un autre exemple impliquait une discussion sur le libre arbitre basée sur la mythologie grecque d'Ulysse d'Homère qui rencontrait des sirènes à poitrine nue. Après avoir réalisé une photo d'une sirène à poitrine nue, un étudiant l'a accusé de commettre une microagression et de dégradant les femmes en montrant une photo d'une sirène à poitrine nue. Une telle sensibilité, demandes, et blâmer semble être une nouvelle tendance dans la vie de campus; une tendance dans laquelle les étudiants deviennent de plus en plus impliqués dans l'identification des micro-agressions présumées associées au fait de ne pas fournir suffisamment de déclencheurs nécessaires pour éviter les perturbations émotionnelles.

L'irrationalité de tout cela n'est-elle pas impressionnante à contempler? L'échelle de ceci est également dérangeante. Le danger pour la société devrait être évident; surtout quand on considère, pour des raisons psychologiques seulement, que l'image de la sirène à poitrine nue n'a aucun pouvoir pour contrarier qui que ce soit, ou que tout le monde serait contrarié par cela.

C'est vrai parce que c'est notre interprétation de l'image qui nous bouleverse: l'élève s'est dérangée par ce qu'elle a dit sur la photo en question! Elle a donné son «pouvoir!» L'irrationalité, complète avec catastrophique – la peur, la colère exigeante , et la réprobation – sont le genre de distorsions cognitives (c'est-à-dire, les styles de pensée irrationnels) qui semblent être contagieux et intensifier parmi certains campus Des millénaires conduisant à des «chasses aux sorcières» qui cherchent à identifier chaque microagression et chaque échec à fournir l'avertissement déclencheur «obligatoire».

Questions : Les désorcitations cognitives ne sont pas des styles de pensées négatives inhabituelles, même si elles sont irrationnelles (c'est-à-dire autodestructrices) plutôt que rationnelles (c'est-à-dire autosuffisantes). Les étudiants en question sont comme vous et moi, mais plus encore ! C'est le " plus " qui me concerne; car cela rappelle les patients que je traite. Pourquoi cette intensification infectieuse de la mauvaise pensée (c.-à-d., Le signal clinique ) au-delà des niveaux de base de la mauvaise pensée (c.-à-d. Le bruit culturel subclinique)? Enfin, croyez-vous que c'est important parce que la pensée, basée sur les valeurs, est la source ultime du Bien et du Mal dans le monde?

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Le 21ème siècle est-il devenu si stressant que nous commençons à voir l'intensification clinique et l'expression d'une mauvaise pensée anciennement subclinique véhiculant désormais des allusions à l'ancienne «hystérie de Salem»? Est-ce une nouvelle manifestation de l'ancienne rectitude politique? La mauvaise pensée (par exemple, les distorsions cognitives) n'est pas nouvelle, mais elle est maintenant perçue comme devenant plus évidente, omniprésente et intense parmi les milléniaux du campus … si les rapports que je cite l'ont bien fait. Encore une fois, les distorsions cognitives latentes ont toujours été avec nous à cause de notre éducation à moitié intelligente sans éducation morale, mais il se passe quelque chose pour l'élever à des niveaux qui n'ont pas été vécus auparavant.

Les drogues récréatives de nos jours, et la plus forte emprise des religions dans le passé, peuvent supprimer la mauvaise pensée; mais certaines sous-cultures (par exemple, les étudiants du millénaire) semblent avoir plus de mauvaises pensées et pour des raisons inconnues. Il a été culturellement toléré, mais avec l'amplification d'aujourd'hui, il peut être vu pour ce qu'il est; mauvaise pensée émotionnelle. Ce qui était plus latent, les styles de pensée pré-cliniques éclate maintenant comme plus de styles de pensée cliniques ayant atteint les niveaux les plus pathologiques de la paranoïa pseudoculturelle, ou la peur et la paranoïa au-delà des niveaux culturels dominants et tolérés.

D'une façon ou d'une autre, les étudiants du millénaire reçoivent une dose plus importante en réponse à quelque chose, une source de stress comme les troubles sociaux après la Grande Récession de 2008. Bien sûr, le stress émotionnel est dans les yeux de chaque spectateur; c'est-à-dire «stress commun» et «mauvaise détresse» sont des produits de la façon dont nous interprétons les événements. Nous nous trouvons parfois face à des «problèmes de réalité» objectifs traités par des «problèmes de tête» subjectifs résultant du stress que nous subissons. La pensée irrationnelle (c'est-à-dire les interprétations anti-soi, antisociales des problèmes de tête) amplifie l'intensité des «problèmes de réalité». C'est ce traitement cognitif qui engendre la bonne et la mauvaise pensée et finalement ce que nous appelons bien et mal.

Peut-être que quelque chose correspond à mon diagnostic hypothétique de la paranoïa pseudoculturelle avec colère (c.-à-d., Au-delà du niveau culturel dominant de la paranoïa et de la colère). Qu'est-ce que la colère? C'est souvent une peur squelchage de la défense. La colère-défense est plus à la mode parmi les hommes que les femmes. On dit que quand les hommes sont en colère, ils devraient pleurer et que lorsque les femmes pleurent, elles devraient être en colère. Quel est l'antidote universel pour la colère? C'est «l'assertion». La paranoïa pseudoculturelle est un comportement qui se charge d'une pensée catastrophique, rappelant que la peur attire et amplifie les enjeux, et la colère qui défend contre la peur! Obtenir les bonnes choses dans la vie par soi-même se résume à l'équilibre que vous avez avec autour d'être un lapin effrayé (catastrophique occupé), un ours en colère (toujours exigeant), ou un renard intelligent (gagner avec assertion).

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Êtes-vous un ours en colère, un lapin effrayé ou un renard intelligent quand les choses vont mal? se souvenir de chaque style métaphorique de coping représente des styles de pensée? Lukianoff et Haidt suggèrent que nous assistons à la pensée pathologique et émotionnelle des lapins effrayés et des ours en colère. Styles de pensée soutenus par des distorsions cognitives et des styles de valorisation dysfonctionnels que nous pouvons mesurer. J'ai l'habitude de traiter les problèmes individuels de la vie et non la pathologie collective. J'ai hâte de découvrir ce que certains de mes pairs de l' American Psychological Association sont venus faire de tout cela.

Tout aussi troublant est la preuve que les campus collégiaux sont complices d'une manière ou d'une autre des étudiants qui «dorlotent», de sorte que les administrations deviennent une partie du problème. Étant donné l'augmentation apparente de la pensée catastrophique chez les étudiants et leur accès à l'amplification de leurs préoccupations et de leur réflexion émotionnelle, il est compréhensible que les professeurs s'inquiètent de l'étudiant sensible qui s'offense et le partage avec le reste du monde. tout ce que cela implique!

Folie à plusieurs:

Un comportement collectif et contagieux de ce genre a été décrit en détail par les Français il y a de nombreuses années. Ils l'ont appelé folie à plusieurs . C'est un comportement collectif, souvent accompagné d'un système délirant partagé et d'une reconstruction de la réalité, aboutissant à une réflexion émotionnelle. Historiquement, il s'agissait d'un degré d'isolement social qui favorise les idées délirantes. Il semble que ces temps-ci impliquent une réponse à la pensée catastrophique ou affreuse avec des exigences absolues (c.-à-d., La colère), à ​​court de reconstructions délirantes de la réalité. Je suppose que c'est un progrès de toutes sortes! Ce à quoi nous sommes confrontés semble impliquer d'autres dimensions, d'autres sources d'effondrement de la pensée rationnelle donnant lieu à la pensée émotionnelle, y compris les distorsions cognitives de la pensée en noir et blanc, les généralisations excessives, les problèmes d'abstraction, la pensée émotionnelle, la divination, l'étiquetage, l'exclusion des preuves positives, favoriser les preuves négatives (car la «peur attire»), favoriser la relativité morale tout en étant aveugle aux absolus moraux et s'engager dans la relativité factuelle encore plus dangereuse souvent associée à l'ignorance et au cynisme croissants concernant la science et la méthode scientifique.

(Voir Guide de la vie rationnelle d'Albert Ellis pour plus d'informations sur les distorsions cognitives, voir La liberté de vivre de Robert Hartman pour en savoir plus sur le philosophe qui a inspiré mes recherches résumées dans les pages de La nouvelle science de la psychologie axiologique . traduire "et" explorer "les conséquences de la recherche résumées dans les pages de ce livre établissant une science des valeurs, et nous donner une base sur laquelle construire une éducation morale, et une compréhension de la nature du Bien et du Mal).

https://www.psychologytoday.com/blog/beyond-good-and-evil

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En ce qui concerne la pathologie, voire la folie, de la « relativité factuelle », il est juste de dire que si nous avons tous droit à nos propres opinions, nous n'avons pas droit à nos propres faits; moins de réalité venir et nous gifle au visage! Rappelez-vous aussi, une conclusion est où "t hinking s'arrête, " et alors faisons attention à eux. Une façon d'être prudent est d'être conscient des distorsions cognitives, des dimensions de la vision-valeur et de la discipline de la méthode scientifique et de son respect des faits (science naturelle) et du respect des valeurs (science axiologique).

Pensez-vous que nous avons vraiment un droit à nos propres opinions? A quel point le droit à nos propres opinions ou aux valeurs qui les soutiennent est-il absolu? La science axiologique et la psychologie axiologique parlent de cette question et nous encouragent à regarder l'équilibre, la sensibilité, l'ordre d'influence et la plasticité des trois dimensions de la valeur et des évaluations; à savoir les « Trois petits mots » des dimensions de valeur (FTD) de Feeler, Doer et Thinker qui permettent des émotions et des comportements … des comportements qui vont du pro-soi, pro-social à anti-soi, anti-social.

Étant donné les hypothèses que la vie est meilleure que la mort (y compris le martyre); que la santé est meilleure que la maladie, que la santé mentale est meilleure que la folie, et que la paix vaut mieux que la guerre; il y a une configuration optimale des dimensions Feeler, Doer et Thinker de la vision de la valeur pour toutes les situations; une configuration qui optimise un tel comportement ou vice versa! Les configurations des dimensions de la valeur centrale aboutissent à tout ce qui est bien et tout ce qui est mal dans le monde; un monde où il est encore plus facile d'organiser le Mal que le Bien (si nous en prenons tous conscience, c'est-à-dire découvrons nos FDT par l'éducation, il deviendra alors plus facile d'organiser le Bien dans le monde).

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Les accusations de « micro-agression », suite à l'incapacité de fournir des «déclenchements-avertissements», sont basées sur la mauvaise pensée, la pensée émotionnelle, à son tour basée sur des distorsions cognitives et la cécité axiologique relative. Les bâtons et les pierres peuvent briser mes os (c.-à-d. Un problème potentiel de réalité), mais les noms ne peuvent jamais me blesser à moins que je sois d'accord avec l'appel du nom (c.-à-d. Il vaudrait mieux enseigner aux élèves que les idées et le contenu des cours ne peuvent pas les contrarier. Seule leur interprétation (c'est-à-dire le traitement cognitif) des idées et du contenu les perturbe. Si les auteurs ont raison concernant les proportions épidémiques de mauvaises pensées sur le campus, nous avons un problème. Le fait que les étudiants en coddling se comportent de cette façon va à l'encontre de tous les psychologues cliniciens de ma pratique d'orientation lorsqu'ils traitent des patients, et va à l'encontre de la mission fondamentale de l'éducation!

À certains égards, le « fusil sociétal» est chargé compte tenu des niveaux de dysfonctionnements cognitifs culturellement prédominants, et nous espérons qu'il n'y aura pas d'amplification par une crise sociale ou une autre, bien que la récession de 2008 et la violence armée ne feront qu'empirer les choses. avec la gouvernance dysfonctionnelle et la paralysie de la polarisation idéologique. Nous jouons avec le feu et peut-être que les «poulets collectifs» sont des canaris qui rentrent chez eux. Je veux dire implicitement que ce comportement sur le campus doit être une manifestation de troubles sociaux et est probablement le canari dans la mine de la société et de ses mécontentements. Elle est également liée à l'échec des adultes à devenir de meilleurs modèles, qu'ils soient membres de la classe politique, de la communauté des affaires, des professions libérales, des athlètes, des médias, des films, de la culture populaire ou d'autres modèles sociaux. si nous n'obtenons pas une correction descendante éclairée nous appâterons une correction ascendante plus gênante, et les révolutions se produisent souvent quand les choses s'améliorent).

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La pensée pathologique par tout autre nom est une pensée pathologique, soit un raisonnement émotionnel derrière la perception de microagressivité ou des demandes d' avertissement déclencheur , soit l'une des distorsions cognitives plus spécifiques précédemment mentionnées et connue pour produire des problèmes de vie pour des individus traités par des psychologues. Maintenant que la mauvaise pensée prend un caractère plus contagieux et éclate à l'échelle de l'implication collective (c.-à-d. Campus Millennials), nous pourrions envisager le développement d'une psychologie clinique capable d'y faire face. Le problème semble trop important pour être laissé entre les mains des psychologues sociaux, des anthropologues culturels ou des religions.

Les conseils pastoraux et philosophiques ne sont pas préparés pour cela! La psychologie clinique non plus! Le traitement des collectifs partageant des distorsions cognitives communes à une telle échelle, et amplifié par les médias sociaux, n'est pas quelque chose que la psychologie est prête à traiter comme une « psychologie de crise» ou une « psychologie préventive » . "Le remède aux épidémies de Folie à Plusieurs doit impliquer une forte approche de psychologie préventive et cela signifie une psychoéducation comme je l'ai suggéré, incluant une éducation morale basée sur la science pour ancrer et discipliner la pensée de plus en plus indisciplinée dans un monde sans terrain commun (p.ex. Je pense à l'homogénéité du monde ancien autour du polythéisme ou de nombreux dieux, puis du monothéisme ou d'un seul dieu.J'ai en vue le terrain commun d'une vision du monde partagée qui nous donne un peu de cohésion sociale ou d'homogénéité culturelle , climat-opinion, ou «esprit de masse». Pensez-vous que la science des valeurs et de la morale peut nous donner ce dont nous avons besoin au 21ème siècle?

Les esprits sont fragiles et vulnérables sans les ancrages du «sens» et du «terrain d'entente» partagé. C'est pourquoi je dis que nous naviguons dans des bateaux qui fuient sur une mer agitée ces jours-ci. Nous devons récupérer une partie de ce que les anciens ont apprécié avec leurs dieux, ce qui leur a donné la sécurité d'un terrain d'entente, d'un terrain commun ou d'une homogénéité culturelle. C'est l'argument qui soutient les internationalistes et qui rejette les nationalistes ataviques comme les Poutine du monde. C'est pourquoi je soutiens la diversité ethnique mais pas la diversité culturelle. C'est pourquoi la psychoéducation (basée sur l'étude des religions comparées, l'histoire et la philosophie de la science, la sémantique générale, la psychologie cognitive, le conseil philosophique, la science de la valeur et la méthode scientifique) est souhaitable. Je vais laisser le défi Malthusian à d'autres pour trier. Nous voyageons avec espoir et notre science des valeurs nous donne de l'espoir!

© Dr. Leon Pomeroy, Ph.D.

Défi malthusien : https://en.wikipedia.org/wiki/Malthusian_catastrophe

28 septembre 2015