7 façons d'aider les enfants à mettre fin à l'intimidation

Cette semaine, j'ai la chance d'assister à la Conférence internationale sur la prévention de l'intimidation à la Nouvelle-Orléans, LA, et d'interagir avec des champions pour les enfants de partout dans le monde. Il est très stimulant d'entendre parler des réussites des professionnels pour atteindre et enseigner les enfants qui intimident, les enfants qui sont victimes d'intimidation et les enfants qui se sentent démunis lorsqu'ils voient la cruauté se déchaîner. Quel réconfort de rencontrer des adultes créatifs, engagés et déterminés à rendre les écoles et les communautés plus sûres pour les jeunes. Et surtout, quel honneur d'être immergé dans un groupe de gens qui savent – parce qu'ils le voient de première main, jour après jour – que les véritables antidotes à l'intimidation ne se trouvent pas dans les politiques et les procédures mais plutôt dans la personne connexions à la personne, fondées sur la gentillesse et l'empathie.

"Tarte dans le ciel?" Vous pourriez vous demander. "Non, la science!" Je l'affirme.

Les neurosciences nous montrent que la gentillesse change le cerveau et que les programmes scolaires qui intègrent spécifiquement l'enseignement de la bonté et de l'empathie dans la journée académique constatent de réelles réductions du comportement d'intimidation. Ce qui suit est sept façons simples, pratiques et faciles à mettre en œuvre que les enfants peuvent utiliser des connexions pour mettre fin à l'intimidation:

1. Tenez-vous avec la personne victime d'intimidation

Encouragez votre (vos) jeune (s) à simplement marcher et à vous tenir près de quelqu'un qui est victime d'intimidation. Souvent, le seul fait de se tenir debout avec une personne vulnérable peut suffire à changer l'humeur et à arrêter l'intimidation. Il permet également à la personne victime d'intimidation de savoir qu'elle n'est pas seule.

2. Mémorisez une déclaration simple

Beaucoup d'enfants me disent qu'ils veulent défendre les autres qui sont victimes d'intimidation, mais ils ne savent pas quoi dire.J'en fais une pratique pour aider les enfants à penser à ce que j'appelle «Bully Bans», ou simple, rapide, des déclarations occasionnelles telles que: «Coupez-le, mec-ce n'est pas cool», ou «Arrêtez-le.C'est méchant." La clé est de laisser les enfants générer leurs propres déclarations, de sorte que leur langage se sent confortable et naturel pour eux. Je les aide à mettre en scène leurs mots simples et originaux d'une voix confiante et décontractée.

3. Modifier le sujet

Enseignez aux enfants à quel point il peut être efficace d'arrêter un épisode d'intimidation en faisant quelque chose d'aussi facile que de changer de sujet. Quand un enfant veut rapidement détourner la pression de quelqu'un qui est victime d'intimidation, il peut simplement demander à haute voix si quelqu'un connaît la date du test de mathématiques ou le score du match de football.

4. Scatter la foule

Un autre diffuseur rapide: préparez les enfants à dire quelque chose comme: «Les gars, nous devons aller en classe avant que la cloche sonne.» C'est un moyen rapide et facile pour les enfants de disperser la foule des spectateurs dont un tyran tire son pouvoir social. . C'est une intervention puissante pour arrêter l'intimidation sur place.

5. Reach dehors

Pour les moments où votre enfant n'est pas présent lors d'un incident d'intimidation ou ne peut pas intervenir dans le moment, rassurez-le qu'il fait encore une différence importante quand il prend le temps de tendre la main à une victime de cruauté plus tard dans la journée. Encouragez les enfants à inviter un pair harcelé à sortir avec eux à l'heure du déjeuner ou à s'asseoir ensemble dans le bus pour rentrer à la maison. Rappelez aux enfants que le fait de tendre la main à l'aide de la technologie est un autre excellent moyen de vérifier auprès de quelqu'un qu'ils savent avoir été victime d'intimidation. Envoyer un message aimable ou rassurer la personne qu'elle ne méritait pas ce qui lui est arrivé peut faire beaucoup pour inverser le sentiment d'isolement et de honte de la victime.

6. Utilisez l'humour

L'une des meilleures façons pour les enfants de propager la gentillesse et de réduire le stress d'une situation d'intimidation est de faire rire les autres. Attention les enfants à s'assurer que le rire n'est jamais créé au détriment de la personne victime d'intimidation, mais sinon, plaisantez!

7. Obtenir de l'aide

Les enfants qui sont victimes d'intimidation ont souvent peur d'être étiquetés comme un tattletale, un vif ou un narc s'ils rapportent l'intimidation à un adulte. Enseigner aux enfants qu'ils peuvent enlever ce poids des épaules d'une victime en s'adressant à un adulte digne de confiance en leur nom. Engagez les enfants dans des conversations réfléchies pour les aider à identifier un ou plusieurs adultes sur lesquels on peut compter pour intervenir avec tact et intervenir efficacement pour mettre un terme à l'intimidation et minimiser les répercussions sur la victime.

Signe Whitson est conseillère scolaire et éducatrice nationale en prévention de l'intimidation. Pour plus d'idées sur la façon d'enseigner aux enfants à utiliser le pouvoir de la gentillesse et de l'empathie pour arrêter l'intimidation, consultez les 8 clés pour briser le livre d'activités pour les enfants et les préadolescents et Guide pour les parents et les éducateurs ou visitez www.signewhitson.com