Tu es ce que tu penses

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Ralph Waldo Emerson a déclaré: «Vous êtes ce que vous pensez toute la journée.» En tant que thérapeute, j'ai essayé d'enseigner aux clients que leurs pensées influent profondément sur leurs humeurs et leurs émotions, leurs choix comportementaux, leur confiance en soi et les risques pour la santé. qui sont pris ou non, et leur sentiment d'estime de soi et d'estime de soi dans toutes les sphères de la vie. D'innombrables pensées communes peuvent avoir un impact négatif et durable. Ci-dessous, je partage trois d'entre eux et d'explorer les façons dont le changement de ces pensées peut conduire à des changements de vie positifs.

1. "J'ai peur – donc je ne peux pas."

Il est étonnant de voir combien il est facile d'avoir peur. «Il ne sert à rien d'essayer ou de croire que le succès peut être atteint.» Un client très brillant et talentueux a reçu à maintes reprises une promotion au sein de son organisation. Bien qu'il voulût gravir les échelons, il ne cessait pas de saisir l'occasion, car il avait peur de parler en groupe et savait que cela ferait partie du travail. J'ai donc introduit un concept conçu pour changer sa façon de penser: avoir peur et le faire de toute façon. Cela a créé un espace pour lui de considérer l'idée que la peur n'a pas à détourner l'avenir dans la vie. Maintenant, il pourrait être ouvert à aborder, affronter et travailler avec sa peur – plutôt que de prendre des décisions pour simplement éviter la chose qui l'a évoqué. Il est allé à Toastmasters pour apprendre les compétences de base en art oratoire, et nous les avons joués en session. Nous avons pratiqué le travail de respiration pour calmer son système, l'imagerie guidée pour imaginer le succès, et l'autopersuasion positive pour célébrer les petits pas en avant – et il était capable de travailler à travers la peur et de prendre la promotion.

2. "Je ne trouverai jamais rien ou personne de mieux; C'est aussi bon que possible. "

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D'innombrables hommes et femmes appliquent cet état d'esprit à des relations malheureuses et à des emplois sans avenir. Une cliente avait été dans une relation à long terme et ne voyait manifestement pas ses besoins satisfaits, mais elle craignait que personne de meilleur ne vienne, ou qu'elle ne serait pas bien si elle n'était pas en couple. Cela se traduit par «Par conséquent, je dois régler.» La nouvelle pensée que nous avons introduite en thérapie était, je n'ai pas à régler, et je n'ai pas à régler, et je n'ai pas à mettre un plafond de verre sur »Nous nous sommes ensuite concentrés sur les normes qu'elle appliquait à des amis qui sortaient ensemble, afin qu'elle puisse commencer à respecter les mêmes normes plus élevées dans ses propres relations. Si elle n'encourageait pas ses amis à s'installer, pourquoi devrait- elle ? Ceci, combiné avec le travail sur le renforcement de l'ego et l'augmentation de l'estime de soi, lui a permis de mettre fin à la relation. Elle est restée célibataire et a découvert qu'elle pouvait aller bien toute seule. En fait, sa vie est devenue beaucoup plus satisfaisante lorsqu'elle a commencé à réclamer toutes les choses qu'elle avait mises de côté pour accommoder son partenaire.

3. "J'ai fait mon lit. Maintenant je dois mentir dedans. "

Beaucoup de familles et de cultures favorisent cette idée, en particulier chez les générations plus âgées. Une fois que vous avez fait un choix, la pensée va, vous ne pouvez pas en dévier ou changer d'avis. Pour ce faire, on associe «abandon», «faiblesse» ou «échec». Un client est venu en thérapie parce qu'il avait été avocat pendant près de 30 ans et qu'il détestait sa carrière. Il l'a choisi pour plaire à son père, qui était aussi avocat. Il savait dès le début que rien dans le travail ne résonnait avec son «vrai moi», mais une fois qu'il s'était engagé dans une école de droit et ensuite dans une entreprise, il se sentait pris au piège. Sa nouvelle pensée est devenue: «Décider de faire un changement est un signe de courage et de force, et c'est mon droit de le faire.» Cela lui a donné la permission d'écouter sa propre sagesse intérieure – et il ne lui a pas fallu longtemps pour se rendre compte que ce qu'il a toujours voulu faire était d'enseigner l'histoire du secondaire. Il a rassemblé son courage, laissé ses associés l'acheter hors de l'entreprise, a ignoré tous les opposants, et pendant les deux dernières années, il a enseigné dans une école privée et n'a jamais été aussi heureux.

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