Source: Mahir Uysal / Unsplash
Ça t’intéresse?
La pratique:
Ayez de la compassion.
Pourquoi?
La compassion est essentiellement le souhait que les êtres ne souffrent pas – de l’inconfort physique et émotionnel subtil à l’agonie et à l’angoisse – combinés avec des sentiments de compassion.
Vous pourriez avoir de la compassion pour un individu (un ami à l’hôpital, un collègue passé pour une promotion), des groupes de personnes (victimes d’actes criminels, personnes déplacées par un ouragan, enfants réfugiés), des animaux (votre animal de compagnie pour l’abattoir) et vous-même.
La compassion n’est pas une pitié, un accord ou une renonciation à vos droits. Vous pouvez avoir de la compassion pour les personnes qui vous ont fait du tort tout en insistant sur le fait qu’elles vous traitent mieux.
La compassion en soi ouvre votre cœur et nourrit les personnes qui vous sont chères. Ceux qui reçoivent votre compassion sont plus susceptibles d’être patients, clément et compatissants avec vous. La compassion reflète la sagesse selon laquelle tout est lié à tout le reste, et cela vous amène naturellement à vous sentir plus connecté avec toutes les choses.
De plus, la compassion peut vous amener à des actions utiles. Par exemple, une étude a montré que les circuits moteurs dans le cerveau s’allumaient lorsque les gens se sentaient compatissants, comme s’ils étaient prêts à faire quelque chose contre la souffrance qu’ils ressentaient.
Comment?
La compassion est naturelle; vous n’avez pas à le forcer; juste ouvert à la difficulté, la lutte, le stress, l’impact des événements, le chagrin et la tension dans l’autre personne; Ouvre ton cœur, laisse-toi émouvoir et laisse la compassion te traverser.
Ressentez la compassion de votre corps, de votre poitrine, de votre gorge et de votre visage. Sentez-vous que cela adoucit vos pensées, adoucit vos réactions. Sachez-le afin que vous puissiez retrouver votre chemin.
Des moments de compassion arrivent dans la vie – peut-être un ami vous parle-t-il d’une perte, ou vous pouvez voir la douleur derrière le visage de quelqu’un, ou un enfant affamé vous regarde des pages d’un journal.
En outre, vous pouvez délibérément appeler avec compassion une minute (ou plus), peut-être chaque jour; Voici quelques suggestions:
Traverser ta journée, ouverte à la compassion de temps en temps pour les personnes que tu ne connais pas: quelqu’un dans une épicerie fine, un étranger dans un bus, des foules qui descendent le long du trottoir.
Laissez la compassion s’installer dans le fond de votre esprit et de votre corps. Comme quoi tu viens, tissé dans ton regard, tes mots et tes actions.
Ne rien oublier