Le pouvoir de la persistance

Comment un engagement froid et dur m’a aidé à trouver encore plus de liberté et de joie dans la musique

J’ai joué du piano toute ma vie. À l’oreille. Cela signifie que lorsque j’entends une chanson, je suis capable de la jouer sans avoir besoin de la voir.

Je peux lire des lignes vocales simples, ce qui est une nécessité en tant que chanteur. Et quand on appuie dessus, je peux m’asseoir et lire un piano ou une partition d’orchestre. Mais c’est pénible, un travail pénible. Mon esprit musical est relégué au second plan pendant que mon intellect essaie de traduire tous ces points noirs et blancs en notes que je jouais déjà si je jouais seulement la chanson sacrément.

JH

Pas de lecture à vue au mariage de mon cousin le week-end dernier…

Source: JH

C’est pourquoi je n’ai jamais priorisé l’apprentissage de la lecture à vue. En dépit de l’utilité de ma pratique de coaching (oh, les frais d’accompagnateur que j’économiserais!), J’ai longtemps choisi l’immédiateté et la joie de la musique plutôt que ce qui semblait toujours être un chemin frustrant -alphabétisation future.

Cela a changé en janvier lorsque je me suis engagé à lire à vue tous les jours et à maîtriser le piano au plus tard à la fin de l’année.

Un peu plus d’un mois, j’ai appris quelques choses:

1. Pour moi et beaucoup d’autres, la créativité et la créativité sont des impératifs de joie et de plaisir. Mais ils ne sont pas toujours les meilleurs catalyseurs de progrès. Ce n’est pas la joie qui m’amène au piano tous les jours pour la pratiquer. C’est un engagement. Et même si ce n’est peut-être pas de la joie, la routine que mon engagement a inspirée est un plaisir.

2. Prendre cet engagement m’a permis d’abandonner mes attentes. Mon travail n’est ni un progrès ni un plaisir, c’est juste pour me montrer. Et, ce faisant, on m’a rappelé à quel point j’aime le travail acharné. Mettre toute mon énergie et ma concentration dans quelque chose a été son propre genre de cadeau et de récompense.

3. Parce que j’ai abandonné mon désir de progrès, je n’y ai pas pensé. C’est pourquoi j’ai été si choqué l’autre jour quand j’ai réalisé que j’avais lu et joué une chanson entière sans pause. Peut-être contre-intuitivement, en abandonnant mon désir de progrès (et ma fixation sur le progrès), le progrès est venu.

Et ce progrès me rend très très heureux.

J’ai hâte de voir ce que les 11 prochains mois apporteront!

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