"… chaque être humain a une garantie sociale et biologique de musicalité et de preuve (suggère) que tout le monde, indépendamment des aspects sociaux, éducatifs, psychologiques ou médicaux peuvent communiquer par la musique." (Hallam & MacDonald, 2009, pg.
Je vous mets au défi de ne pas sourire pendant que vous regardez ce clip vidéo de 3:44 minutes (cliquez ici si vous rencontrez des problèmes pour visionner la vidéo):
Mon article de blog précédent était également inspiré d'une vidéo, mais d'une manière plus analytique. Celui-ci est différent. Cette fois je veux simplement énumérer pourquoi j'aime et apprécie cette vidéo en tant que musicothérapeute, en tant que mère, en tant que musicienne et en tant qu'être humain.
Cette vidéo me fait aussi me demander si cela devient un art perdu. Par "ceci", j'entends ces occasions quotidiennes de jouer, de créer quelque chose d'esthétique, de prendre des risques créatifs.
Selon les articles et les livres que j'ai lus, nous consommons plus de musique que jamais grâce à l'accès offert par les smartphones, les iPods, les lecteurs MP3 et Internet (Sloboda, 2010). Mais l'art perdu dont je parle n'est pas simplement consommer un art esthétique, il est activement impliqué dans sa création. Aucun droit ou tort, aucun perfectionnisme, aucune attente que vous serez le prochain Rachmaninoff, Monet, Bruce Springstein ou Shel Silverstein.
Juste la créativité pour la joie personnelle qu'elle apporte, les liens sociaux qu'elle crée, le bonheur émotionnel qu'elle engendre et l'intelligence imaginative qu'elle stimule.
Qu'est-ce que tu penses?
Hallam, S. et MacDonald, R. (2009). Les effets de la musique dans les milieux communautaires et éducatifs. Dans S. Hallam, I. Cross, et M. Thaut (Eds.), Oxford Handbook of Music Psychology (p.447-480). Oxford: Oxford University Press.
Sloboda, JA (2010). Musique dans la vie quotidienne: le rôle des émotions. Dans PN Juslin et JA Sloboda (Eds.), Handbook of Music and Emotion: Théorie, recherche, applications (pages 493-514).