Id-iocity: l'état dans lequel les instincts animaux dépassent le potentiel de l'humain de ne pas céder à eux et cette personne se détourne plutôt de leur donner
Il n'y a pas de nature humaine. Il n'y a que la nature animale et le potentiel humain à ne pas y donner. Dernièrement, cependant, les humains semblent plus engagés à donner dans leur nature animale et ensuite essayer de s'en tirer avec.
Quel dommage que Freud ait été si fustigé par le monde et surtout le mouvement féministe concernant son complexe d'Œdipe. Ce n'est pas qu'il ne méritait pas d'être aussi embroché, mais par conséquent, son travail sur la psychologie de l'ego était un autre de ses bébés qui a été jeté avec l'eau du bain.
Simplement déclaré:
Le dicton de Freud: "Là où l'on se laisse égo" était essentiellement une réprimande agissant à nouveau sur vos instincts les plus bas qui ne pouvaient pas simplement vous causer des ennuis, mais qui ne présageait rien de bon pour la société en général.
Les névrosés ont souvent un Surmoi sévère et même punitif, c'est pourquoi ils ont souvent une conscience coupable, même quand ils n'ont rien fait de mal. Une des raisons pour laquelle ils ressentent si souvent l'anxiété est que, comme tout le monde, ils ont toujours leur instinct animal, mais leur Surmoi est constamment en alerte rouge contre leur action sur ces instincts. C'est comme si leur Id et Superego étaient enfermés dans un jeu à «somme nulle» où leur principe de réalité basé sur Ego a été évincé de l'équation.
Les personnes ayant des troubles de la personnalité ont des trous ou des lacunes dans leurs Superegos / consciences, ce qui fait que leur Id peut échapper à son contrôle. Plus les trous dans leur conscience sont grands, plus leurs instincts contrôlent leur comportement. Les psychopathes n'ont pas de Superegos qui est ce qui les rend si antisociaux et tout à propos de gratifiant leurs instincts.
Le pouvoir et la richesse créent souvent des trous dans le Surmoi d'une personne et font ressortir un narcissisme chez les personnes vulnérables à l'observation communément admise que «le pouvoir corrompt et le pouvoir absolu corrompt absolument».
C'est peut-être la raison pour laquelle des gens comme John Edwards et Bill Clinton ont essentiellement dit qu'ils ont fait ce qu'ils ont fait, parce qu'ils le pouvaient. Cela signifiait qu'ils pensaient qu'ils étaient au-dessus des règles externes qui retiennent les autres et qu'ils étaient au-delà des influences inhibitrices de leur conscience. Cela s'est traduit par le fait que le crime n'était pas en train de faire, mais d'être pris.
Une fois que les gens riches et puissants ont eu un avant-goût de la montée d'adrénaline de donner à ces instincts, il est très difficile de revenir à la vie avant qu'ils ne deviennent des «quelques-uns» riches et puissants.
Comme l'une de ces personnes m'a dit: «Quand vous revenez de quelqu'un à quelqu'un, c'est comme si vous n'étiez personne.» Et beaucoup de ces gens ne peuvent pas le tolérer.
